Mesures contre l’agression.

Lors d’une audition au parlement l’année dernière, il est apparu que 60 pour cent des cas d’agression légère et 40 pour cent des cas d’agression grave contre les travailleurs humanitaires sont abandonnés par le tribunal.
De toute évidence, ce chiffre est beaucoup trop élevé.
C’est pourquoi le ministre a agi et cela a été discuté au Conseil des procureurs généraux.
À l’avenir, la législation sera appliquée plus étroitement, ce qui signifie que cette situation devrait s’améliorer.
Il y a aussi la possibilité d’imposer un cours de gestion de la colère aux délinquants pour finaliser. Cette idée vient de l’Union des ambulanciers.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *